jeudi 20 octobre 2011

Odeurs d'oeuf pourri de la BIH (suite) : de l'impuissance de la gouvernance locale

A la suite du billet du mercredi 12 octobre, les autorités locales m'ont renvoyées vers d'autres autorités (administratives et techniques celles-ci) ; à se demander quelle est l'utilité d'une démocratie représentative dont le coût est inversement proprotionnel à son efficacité ? Laisser la société civile en prise directe avec la BIH est un acte de mépris doublé d'un aveu  d'impuissance. Car certains services de la mairie de Saint-Germain-en-Laye ont dans leur prérogative le suivi de ce genre de dossier et d'assurer l'interface entre la BIH et les services administratifs et techniques (la DRIEE en l'occurence). Laisser le soin à la société civile d'assurer le suivi est un aveu patent d'impuissance sur un dossier d'une complexité peu relevée (s'assurer que la BIH nettoie régulièrement ses cuves ; pour info elle traite par jour...24 tonnes de linge !). Une démocratie représentative qui ne l'est plus a un goût amer car ce sont ses fondements qui sont sapés.

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